Ségolène Royal et Barbara Pompili, que nous avions sollicitées le mois dernier suite à l’arrêté sur les zones humides de février, ont répondu.
Barbara Pompili, dont la réponse est la plus détaillée, explique qu’elle « comprend nos craintes », demande une « analyse approfondie » de la décision du Conseil d’État et « d’étudier l’évolution des textes qui serait la plus pertinente pour remédier aux difficultés révélées par l’arrêt du Conseil d’État ».
Vous pouvez retrouver ici la lettre adressée à l’UPGE par Barbara Pompili.